Le directeur diocésain fait une visite de rentrée |
Patrick Wolff, Directeur Diocésain, et Vice Président du Comité National de l'Enseignement Catholique a visité cette structure à la rentrée.
Les premières heures à l'internat
Mardi durant la pause de midi, certains lycéens ont terminé les derniers rangements dans leur chambre. Pour d’autres, plus habitués des lieux, ils ont déjà vaqué à des activités diverses.
Phuwadol qui vient d’un quartier Strasbougeois, et Grégoire qui vient de Mundolsheim, seront en classe de CPCT (classe préparatoire au cycle terminal) cette année. C’est leur première rentrée à l’internat. Pour eux la première impression, c’est «le calme qui règne en ces lieux et l’espace énorme en plein dans la nature qui les impressionne.» Grégoire rajoute: «Les surveillants et les préfets d’internat sont vraiment très attentifs à chacun d’entrenous. On se sent bien accueilli». Théo, Strasbourgeois aussi, se dit un peu stressé, il est nouveau également, mais ce qui le rassure c’est de se retrouver avec un ancien en chambre, Augustin, qui vient de Mulhouse. «Il sera un peu mon guide... Je vais le suivre pour prendre mes repères.»
Arnaud, et sa soeur Mathilde, deux internes et anciens qui viennent d’Haguenau connaissent bien le Séminaire, ils sont dans l’établissement depuis la sixième. C’est autour du billard au foyer qu’il ont fait connaissance et essayé d’intégrer les nouveaux camarades. «On sait ce que c’est, l’internat c’est toujours un peu difficile au début, mais après c’est une vraie famille. Pour le travail, quand on n’a pas compris l’une ou l’autre chose, le voisin de chambre peut nous expliquer. En plus, par rapport à la maison, on a vraiment l’impression d’avoir notre vie bien à nous. Le vendredi on est d’autan plus heureux de retrouver les siens.»
Patrick Wolff, le directeur diocésain de l’enseignement catholique d’Alsace, Vice-président du Comité National de l’Enseignement Catholique a fait sa visite de rentrée au Séminaire de jeunes ce mardi matin. Il est heureux du service que cette structure rend à l’éducation et à l’enseignement alsacien. «C’est un vrai service pour de nombreuses familles. De plus, le cadre de l’internat permet un véritable accompagnement pour le travail.» Il s’est rappelé, avec un brin de nostalgie sa dernière rentrée à Walbourg comme chef d’établissement il y a dix ans, avant de prendre la responsabilité régionale puis nationale.
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