Le retour...
Onze temps de prière, six temps de réflexion et d'échange avec un frère, de nombreuses rencontres, beaucoup de bonne humeur, quatre jours de vie paisible... Taizé se termine...
C'est avec du recul par rapport au quotidien, nourri de la Parole de Dieu, regonflé que chaque retournera à son quotidien...
voir aussi l'album N°2
Ce qui fait partie de la guérison de l'autre, c'est de lui dire qu'il a au fond de lui les capacités de guérir.
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Quelques éléments de la réflexion d'hier:
Frère Maxime : les guérisons de Jésus
Actes des apôtres 1, 3-8 . À partir de ce texte le frère Maxime à invité à la réflexion.
Chez Jésus il y a trois niveaux de la guérison:
- La guérison sociale ( restauration d'une relation à la personne) Sommes-nous capable de créer du lien?
ensuite la guérison médicale, ( souvent traitée par le monde médical), mais en fait il y a une partie du médical qui pèse sur notre âme. Nous avons comme responsabilité de ne pas nous laisser tirer une balle dans le pied. ( peurs et angoisses) Parfois nous sommes dans une spirale de l'échec.
Guérison spirituelle: je me donne le droit d'être pleinement vivant.
Comment être porteur de guérison?
La liberté se pose sur ces deux mots: vocation et guérison.
Ce qui fait partie de la guérison de l'autre, c'est de lui dire qu'il a au fond de lui les capacités de guérir.
Un chrétien ne va jamais guérir lui même. À chaque fois dans la racine de la guérison il y a "El" (Raphaël) = Dieu. C'est toujours Dieu qui guéri.
Une guérison va nous arrêter un certain dans la vie et nous faire repartir plus loin.
"Jésus s'arrêtait pour faire le bien" . Même lui ne se prend pas pour le sauveur. On ne sauve souvent qu'en passant un moment, de telle sorte que la relation reste gratuite.
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